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Peu à peu, les professionnels de l’aide médicale et sociale en Suisse s’accordent à reconnaître la nécessité de faire appel à des professionnels de la socio-esthétique pour assurer une prise en charge globale des personnes et permettre une véritable interdisciplinarité. Nous cherchons à que notre offre soit inscrite dans les projets de soin ou de vie définis par les équipes pluridisciplinaires des établissements médico-sociaux.

 


Selon l’association française CODES (www.socio-esthetique.fr), pionnière dans la formation professionnelle de socio-esthéticiennes, être Socio-esthéticienne suppose de :

  • Être titulaire d’un diplôme reconnu en esthétique-cosmétique ;
  • Comprendre comment travailler dans un service hospitalier ou social et quelle est la portée de la prise en charge esthétique dans ce cadre.
  • Être préparée à une relation avec les patients, leur entourage ainsi que les équipes soignantes (respect du secret professionnel, transmission des informations, inscription dans les projets de soin,…).
  • Assurer la protection des patients (connaissance des pathologies et traitements, respect de l’hygiène hospitalière, techniques particulières, …).

Une discipline au cœur de l’accompagnement. Un outil complémentaire dans la prise en charge globale des personnes, la socio-esthétique participe à :

  • un accompagnement corporel de la souffrance et de la douleur par l’écoute et le toucher pour un mieux-être.
  • la reconstitution de l’image de soi et donc de l’estime de soi et la dignité.
  • la resocialisation des personnes.

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La socio-esthéticienne doit être patiente et à l’écoute. En générale ses patients ressentent un mal-être, ils ont besoin de se confier et d’être écoutés.